Un outil de savoir faire pour aider à démarrer à développer à sauver tout commerce de détail ou de service avant de vendre ou fermer.
L’actualité dans le commerce de détail et de service.
Aujourd’hui, le pouvoir d’achat de tous les consommateurs n’est pas suffisant pour faire vivre l’ensemble des activités du commerce de détail et de service. Vous en avez entendu des échos, et cela va encore s’amplifier. Comme ce pouvoir d’achat n’est pas près de s’arranger, par analyse, il convient de penser que bon nombre de ces commerces de détail et de service ont déjà disparu, disparaissent ou vont disparaître. Il y a entre 1600 et 1800 ventes judiciaires en moyenne par mois en France. Des dépôts de bilan par centaines, des biens à vendre par centaines aussi, et ceux-là avant le 84ème mois d’amortissement. On y arrive plus, c’est la crise de 2011.
Mais où cela ce passe t-il ?
Pourquoi est-ce que les professionnels dans le développement commercial pour les commerces de détail et de service ne sont pas entendus ?
Il y a pourtant en face de ces commerçants, ceux qui ont l’expérience acquise au nombre des années, qui ont le savoir-faire, le modèle ou le concept, la démonstration des résultats et qui conseillent.
Les conseilleurs ne sont pas les payeurs, c’est connu. Mais en attendant, qui perd ? La comparaison des prix, des résultats est-elle bien utilisée ?
Je pense que le premier constat est que la marge commerciale est ignorée, oubliée ou abandonnée. La première cause, peut-être les coûts publicitaires. Pourtant, il y a toujours à faire, toujours et encore toujours. Le second constat est que beaucoup sont autodidactes, avaient des économies, un diplôme et sont partis investir dans un fonds ou l’achat d’un commerce. Et puis ‘’on verra bien’’…..
Le ‘’on verra bien’’ coûte souvent très cher !
La solution, quelle solution ? Je vous invite à vous rendre à ce sujet dans ‘’Recherche commerce de détail ou de service’’ qui en est une et sans doute pas la seule. Mais vous, quelle solution souhaitez-vous à votre question ou besoin ? Quelle solution pourriez-vous apporter ?
Est-ce qu’un « numerus clausus » est envisageable ? Ou est-ce qu’il faut tout faire pour être le meilleur ? Est-ce aussi la loi de la jungle ?
Qu’est-ce qu’un bon vendeur ? Celui qui va bien servir un client et/ou celui qui va bien vendre pour demain et après-demain ? Servir, vendre, acquérir des Clients et des nouveaux, et les fidéliser, des arts bien différents ou complémentaires ?
En voilà tout un tas de questions, le débat est lancé.
Merci de faire connaître votre avis et à bientôt de vous lire,
Bien cordialement,
Christian Thorel